Un examen ophtalmologique

Je ne comprenais rien à la couverture de The Economist 2020 jusqu’à ce soir. Elle ne comporte que des noms ou des mots, tous écrits en en noir, rouge ou vert avec des tailles de police différentes. Il n’y avait rien à comprendre. Et pourtant … Cette couverture est en réalité assez bien pensée. Ils se moquent de nous, pauvres GOY, mais franchement il faut leur reconnaître cet humour sarcastique. Je pense avoir compris cette couverture en me repenchant sur celle de 2019. Je vais expliquer le cheminement de ma pensée.

Les 4 cavaliers de l’Apocalypse – couverture 2019

La mutilation des chevaux apparue en France depuis février ne peut être que des actes satanistes. Il est impossible que des déséquilibrés au sens psychiatrique se soient donnés le mot aux 4 coins de l’hexagone. Ce sont des gens qui savent ce qu’ils font car ils en ont eu l’ordre. En prenant en compte ce point, et en considérant le temps biblique avancé, j’ai naturellement pensé au 4 cavaliers de l’Apocalypse de Saint Jean.

Ces actes odieux sont l’oeuvre du malin. Il Restait donc à rechercher des informations où la Bête aime à les dissimuler. En agrandissant les 4 cavaliers de la couverture 2019, j’ai eu une énorme surprise.

La couverture 2019 est inversée (il faut lire la page à l’aide d’un miroir pour pouvoir lire les textes). J’ai inversé l’image afin de comparer l’ordre avec celui du texte de Saint Jean. On peut remarquer qu’il semble respecté :

  • le premier, le cavalier blanc porte un arc et une couronne,
  • le troisième, le cavalier noir représente la famine,
  • le dernier, le cavalier verdâtre est le moissonneur, la mort, reconnaissable avec sa faucille.

Oh, mais le second alors ?

A priori, le dessin comporte une erreur. En effet le second cavalier est le rouge. Il ne porte pas de couronne. Son rôle est de diviser. Voici un agrandissement de la tête du cavalier :

  • la couronne du cavalier rouge ressemble beaucoup à la couronne de la statue ci-dessous :

  • les bouches des 3 autres cavaliers sont visibles distinctement, par contre celle du cavalier rouge semble cachée par … euh … non … notre cavalier rouge aurait-il eu peur d’attraper le virus à la couronne ? Ne serait-ce pas un masque de chirurgien ?

La statue de la liberté est un monument maçonnique considéré par le quidam comme le symbole de la liberté. Satan va utiliser ses symboles pour indiquer des informations. Le cavalier rouge, celui de la division, est le diable lui-même. Il est coiffé de la couronne de « la liberté » et il porte le masque bleu, le bâillon qu’on nous impose chaque jour un peu plus. Le message est très clair. Ils vont s’attaquer à nos libertés. La statue de la liberté était présente sur la couverture de 2018 :

Le rôle diviseur du cavalier rouge est amplifié par :

  • le mouvement des « Black lives matter »,
  • les affrontements de plus en plus rudes entre les bandes comme à Dijon,
  • les zones de non droits (Castaner avait recommandé de ne pas se rendre dans ces zones lors du confinement),
  • le sentiment grandissant que la police et/ou la gendarmerie s’en prennent aux plus faibles plutôt qu’aux vrais délinquants (employé de carrefour menotté ou couple plaqué au sol pour non port du masque à Nice lors du départ du tour de France).

La mutilation des chevaux renvoie aux cavaliers. Les noms des 3 premiers chevaux tués pourraient d’ailleurs convenir tout à fait aux montures des premiers cavaliers :

  • le cavalier blanc portant une couronne (Roi) : Gold des luthiers (l’or est un attribut du roi),
  • le cavalier rouge : Démon du Médoc,
  • le cavalier noir : Flash.

Si on se place d’un point de vue matérialiste, le cavalier noir représente la famine donc la crise financière. Celle-ci risque d’arriver très rapidement après le passage du cavalier rouge.

Je ne connais pas le nom du cavalier verdâtre.

En bonus,

une image du petit pangolin :

et la réaction chinoise après toutes les attaques occidentales :

La couverture 2020

Tous les éléments cités au dessus sont extraits de la couverture de 2019. Alors pourquoi ceux-ci se produisent en 2020 ? L’analyse est-elle fausse ?

Tout d’abord les éléments qui se déroulent aujourd’hui prennent leur source dans le passé. L’ennemi pourra alors prévenir quand il commence l’ouvrage mais il ne donnera pas la date de publication. C’est une manière implicite de montrer que la pandémie actuelle a été préparée à l’avance.

Le sens porté par la couverture 2020 explique la même chose de manière moqueuse et méchante. Il faut regarder en arrière.  En effet, la couverture représente une sorte d’optotype de Snellen utilisé par les ophtalmologues. Cette plaque nous invite à vérifier notre vision. D’ailleurs le mot est mis en évidence sur la couverture :

Les mots de la grille sont référencés sur les couvertures 2015 à 2019. Dans des articles, j’ai démontré qu’une explication d’un élément d’une couverture pouvait trouver sa source sur une couverture antérieure. Cette idée est cette fois fournie par l’auteur de la couverture 2020. Il nous invite à prendre un rendez-vous chez l’ophtalmologue si on n’a pas compris que tout ce qui se passe sous nos yeux aujourd’hui a déjà été annoncé les années précédentes. Il n’était pas utile pour lui d’ajouter autre chose, il a mis un fond blanc et jeté ci et là les mots à prendre en considération pour nous « aider » dans les recherches. Ceci indique également que tout est prêt selon eux, tout ce qui devaient être entrepris l’a été et alea jecta est.

Alea Jecta Est

Je vais terminer l’article par le fameux discours de Christine Lagarde le 15 janvier 2014 (https://www.youtube.com/watch?v=QYmViPTndxw).

Celle-ci avait annoncé en considérant la somme des chiffre de 2014 (7) qu’il s’agirait d’une année magique. Elle avait beaucoup insisté sur le chiffre 7. Des interprètes de tout poil voyaient en cette année une remise à zéro de l’économie. Il n’avait peut-être pas entièrement tort. Si on prend en compte le cavalier noir (Flash), ce reset arrivera peut-être en 2021, c’est-à-dire 7 ans après 2014.